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Produits sans gluten: danger pour nos enfants!

Produits sans gluten: danger pour nos enfants!

Le régime sans gluten... Vaste sujet! Je le sais, je vous ai promis des articles qui n’incitent pas à la polémique. C’est toujours mon but. Mais lorsque les évidences scientifiques sont sans appel, il est de ma responsabilité d’être tranchant: surtout s'il s'agit de nos enfants.

Le régime sans gluten... Vaste sujet! 


Je le sais, je vous ai promis des articles qui n’incitent pas à la polémique. C’est toujours mon but. Mais lorsque les évidences scientifiques sont sans appel, il est de ma responsabilité d’être tranchant : surtout s'il s'agit de nos enfants.

Dans cet article nous parlerons du gluten. Nous ne nous attarderons pas à comprendre ses mécanismes néfastes sur la santé et le développement de nos enfants. Je vous en parlerai, si vous le souhaitez, dans un article dédié.


En revanche je souhaite vous alerter sur une erreur très commune, que tous ceux qui souhaitent écarter cette protéine de leur alimentation familiale ont, un jour, commis (moi y compris). L’achat de produits industriels sans gluten.


En effet, le premier reflex que nous avons est de chercher ce que nous connaissons déjà : un goût, une consistance, un aliment précis. Le tout est encore plus vrai lorsqu'il s'agit de nos enfants : acheter ou cuisiner des produits qu’ils aiment pour éviter la crise du dîner !
Les produits industriels sans gluten se trouvent dans tous les rayons et leur prix, souvent très cher, semble être la promesse d’un produit de haute qualité (surtout nutritive). Des biscuits, des gâteaux, des muffins, des plats prêts en 5 minutes au micro-ondes et faciles à adopter par tous : parents et enfants.

Voyons pourquoi les produits industriels sans gluten ne sont absolument pas une bonne solution.


Le blé moderne, une céréale OGM et toxique


Quand on touche au blé, les gens se révoltent. On me donne toute sorte d’excuse : “on a toujours mangé ceci”, “personne n’est jamais mort en mangeant de la pizza”, ''qu'est-ce que je vais donner à manger à mes enfants alors...'' ou ma préférée : “mon grand-père a vécu 95 ans en mangeant des pâtes tous les jours”.

Je suis désolé, je ne vais pas passer par 4 chemins : le blé que nous donnons à nos enfants n’est plus celui que nos grands-parents mangeaient.
Disons-le clairement et une bonne fois pour toute : le blé que nous mangeons actuellement est un pur produit de manipulations génétiques, c’est un OGM toxique !


Voici un petit historique de l’alimentation de notre espèce :


  • Pendant 9 millions d’années : nous nous sommes essentiellement nourris de : fruits sucrés, baies, pousses, bourgeons, fleurs et jeunes feuilles, viandes, moelle osseuse, organes d’animaux, poissons et crustacés, larves, œufs, racines, bulbes, oléagineux et graines.

  • Il y a environ 10 000 ans : via la naissance de l’agriculture nous avons intégré de manière massive la consommation de céréales et produits laitiers.


Le blé s’est transformé dans le temps :


  • Passant de grain sauvage contenant 14 chromosomes (blé originel)

  • à 28 chromosomes (blé dur et kamut obtenus après de nombreux croisements), pour augmenter le rendement

  • On a continué à faire des croisements (mutations) jusqu’à obtenir le blé tendre qui contient 42 chromosomes.


Malheureusement cette version à 42 chromosomes n'est toujours pas la dernière version du blé : c'est celle que l’on consommait au 19e siècle !

En 1950, le monde a connu la fameuse révolution verte. Pour résoudre la famine de certains pays (Inde, Mexique, Pakistan, etc.), on a fait appel à un agronome généticien (Norman Ernest Borlaug).
La solution fut trouvée : augmenter le rendement par hectare en faisant des modifications génétiques aux céréales. Il a d’ailleurs obtenu le Prix Nobel de la Paix pour cela.

Ces nouveaux blés, dont la protéine de gluten a été ultra-modifiée ne sont, aujourd’hui, plus compatibles avec le système digestif humain, donc toxiques. Cette toxicité mérite d’autant plus d’attention dans le cas des systèmes digestifs en plein développement de nos enfants.


Produits sans gluten : un problème de surconsommation


Nous savons que la consommation (devenue excessive) de gluten peut, en effet, être nocive pour la santé et même entraîner une intolérance, la maladie cœliaque, ou une réaction de type allergie sévère. De nombreuses études sont formelles : ce genre de problématique ne cesse d’augmenter. Elles ont été multipliées par 6, voire 11, selon les régions de France.


Si consommée en trop grande quantité, cette protéine se transforme en une espèce de colle (glue-ten) qui vient tapisser et boucher les microvillosités de l’intestin. En effet, ceci limitera, chez l'enfant comme chez l'adulte, la capacité d’assimilation des bons nutriments et vitamines. Ceci entraîne souvent d’importantes carences.

De plus en plus souvent, au cabinet, à travers une analyse du microbiote, nous constatons que cette glue a réussi à rendre la barrière intestinale des enfants poreuse. Cette barrière fait office de frontière face aux mauvaises bactéries. Si elle est fragilisée, les bactéries peuvent facilement pénétrer dans l’organisme.


Une alimentation riche en gluten affaibli l'intestin qui permet d’acheminer ”le bon carburant” vers nos cellules. Pour faire simple, manger du gluten fragilise considérablement l'immunité de nos enfants.  
Le problème est que le gluten se cache partout. Ce dernier sert à épaissir les préparations et de nombreux aliments contiennent du gluten caché. Vous faites peut-être partie de ces gens qui disent : ”Mon enfants ne mange pas de pain et très rarement des pâtes, il n’y a pas de gluten dans son alimentation” ?


Malheureusement on en surconsomme tous, au travers d’aliments peu suspicieux :


  • Plats préparés

  • Charcuterie

  • Sauces et condiments

  • Pâtes à tartiner

  • Crèmes desserts

  • Et bien sûr : pâtes, biscuits et gâteaux industriels


Tous ces aliments contiennent du gluten. Il y en a même dans les médicaments !

Le jour où ...


Ah, le cododo! Ce mot que, dans le passé, je prononçais avec le même dédain qu'une commande de jus de kale dans un fast-food. "Quoi, partager le lit avec mon bébé? Et m'empêcher de me tourner comme un ventilateur toutes les nuits? Pas question!" Mais oh, comme les choses peuvent changer.

Le cododo est un peu comme ce vieux jean au fond de votre armoire. Vous savez qu'il est là, mais vous ne voulez pas vraiment le sortir et l'essayer. Pourtant, quand vous le faites, c'est le confort à l'état pur. La chambre familiale, où tout le monde dort ensemble, est venue à nous comme une révélation nocturne.


Avant de la découvrir, nous naviguions dans un océan de doutes et d'incertitudes. C'était comme si chaque soir, nous embarquions pour une mission en territoire ennemi, sans carte ni boussole. Les réveils nocturnes étaient nos assaillants imprévisibles, et nos tentatives désespérées de rendormir notre petite étaient des batailles perdues d’avance.


Puis un jour, lors d'une de mes visites nocturnes habituelles sur les forums de parents épuisés, j'ai trébuché sur le concept de chambre familiale. La co-sleeping (ou co-dodo) est la normalité pour de nombreuses cultures à travers le monde. C'était comme une révélation, un rayon de lumière dans notre nuit sombre (et constamment interrompue).


Alors, nous avons décidé d'essayer. Nous avons réarrangé la chambre : notre lit parentale et son lit à elle pas loin du notre (chacun son confort). La première nuit dans notre nouvelle configuration a été une révélation. Notre fille semblait rassurée par notre présence, et nous avons découvert ce que c'était que de dormir plus de trois heures d'affilée. C'était magique. La différence était comme entre le jour et la nuit, littéralement. Plus de missions nocturnes périlleuses. Plus de spectacles de craquements articulaires involontaires. Juste du sommeil, doux et réparateur.


La chambre familiale n'était pas seulement une solution au problème du sommeil de notre fille. C'était une réponse à nos inquiétudes, nos anxiétés, et notre épuisement. Et le plus drôle dans tout ça? Les sceptiques qui nous entouraient ont commencé à voir la transformation et à poser des questions. C'était comme si nous étions devenus les ambassadeurs involontaires du co-dodo dans notre cercle social.


Oui, le voyage du sommeil autonome à la chambre familiale a été une aventure, avec ses hauts et ses bas. Mais quand je regarde en arrière, je me dis que chaque étape nous a menés là où nous devions être, dans une chambre paisible, avec une petite fille paisible. Et, bien sûr, deux parents beaucoup, beaucoup plus reposés.


Chambre familiale, mythes et réalité

La chambre familiale est, pour certains un tabou, une hérésie du sommeil. Pour d'autres, c'est une oasis d'amour et de connexion. J'ai moi-même été pris dans ces tornades d’opinions divergentes. Permettez-moi de partager une anecdote qui, j'espère, vous fera sourire autant qu'elle m’a fait réfléchir.


Il y a quelques années, lors d'un dîner entre amis, j'ai évoqué, non sans une pointe de fierté, notre choix de la chambre familiale. La réaction a été... disons... mémorable. Mon ami Thomas, tout en recrachant presque son vin, m'a lancé : "Quoi ?! Tu veux dire que ton enfant dort avec vous ? Mais... et ta vie privée ? Et son indépendance ? Il va finir par dormir avec vous jusqu'à ses 18 ans !" J'ai souri, comprenant la véritable inquiétude derrière ses mots. C'est un mythe répandu : en optant pour la chambre familiale, on sacrifierait notre vie de couple, et on empêcherait nos enfants de grandir en toute indépendance.


Mais ce n'est pas tout ! Qui n'a jamais entendu que cela ne faisait que renforcer les caprices ? Ou encore, que cela empêchait l'enfant d'apprendre à s'auto-apaiser ?

Maintenant, plongeons dans la réalité. D'abord, et c'est crucial, chaque famille est unique. Si la chambre familiale renforce le lien d'attachement entre l'enfant et les parents, c'est une victoire. 

De nombreuses études montrent que les enfants qui partagent une chambre familiale ont souvent une meilleure estime d'eux-mêmes et sont plus équilibrés. Quant à la vie de couple, elle se réinvente, s'adapte, et non, elle ne se résume pas uniquement à la chambre à coucher. Et pour ce qui est de l'indépendance, elle se construit sur la sécurité affective, la confiance, et non sur la distance physique.


Le plus inspirant dans tout cela ? En choisissant la chambre familiale, vous choisissez d'écouter votre cœur plutôt que les "on-dit". C'est un acte d'amour audacieux, plein d'intuition et de confiance.

Produits sans gluten: danger pour nos enfants!

Découvrez la face cachée des produits sans gluten! Sont-ils vraiment sûrs pour nos enfants? Une alerte à ne pas négliger sur leur santé alimentaire.

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Le régime sans gluten... Vaste sujet! 


Je le sais, je vous ai promis des articles qui n’incitent pas à la polémique. C’est toujours mon but. Mais lorsque les évidences scientifiques sont sans appel, il est de ma responsabilité d’être tranchant : surtout s'il s'agit de nos enfants.

Dans cet article nous parlerons du gluten. Nous ne nous attarderons pas à comprendre ses mécanismes néfastes sur la santé et le développement de nos enfants. Je vous en parlerai, si vous le souhaitez, dans un article dédié.


En revanche je souhaite vous alerter sur une erreur très commune, que tous ceux qui souhaitent écarter cette protéine de leur alimentation familiale ont, un jour, commis (moi y compris). L’achat de produits industriels sans gluten.


En effet, le premier reflex que nous avons est de chercher ce que nous connaissons déjà : un goût, une consistance, un aliment précis. Le tout est encore plus vrai lorsqu'il s'agit de nos enfants : acheter ou cuisiner des produits qu’ils aiment pour éviter la crise du dîner !
Les produits industriels sans gluten se trouvent dans tous les rayons et leur prix, souvent très cher, semble être la promesse d’un produit de haute qualité (surtout nutritive). Des biscuits, des gâteaux, des muffins, des plats prêts en 5 minutes au micro-ondes et faciles à adopter par tous : parents et enfants.

Voyons pourquoi les produits industriels sans gluten ne sont absolument pas une bonne solution.


Le blé moderne, une céréale OGM et toxique


Quand on touche au blé, les gens se révoltent. On me donne toute sorte d’excuse : “on a toujours mangé ceci”, “personne n’est jamais mort en mangeant de la pizza”, ''qu'est-ce que je vais donner à manger à mes enfants alors...'' ou ma préférée : “mon grand-père a vécu 95 ans en mangeant des pâtes tous les jours”.

Je suis désolé, je ne vais pas passer par 4 chemins : le blé que nous donnons à nos enfants n’est plus celui que nos grands-parents mangeaient.
Disons-le clairement et une bonne fois pour toute : le blé que nous mangeons actuellement est un pur produit de manipulations génétiques, c’est un OGM toxique !


Voici un petit historique de l’alimentation de notre espèce :


  • Pendant 9 millions d’années : nous nous sommes essentiellement nourris de : fruits sucrés, baies, pousses, bourgeons, fleurs et jeunes feuilles, viandes, moelle osseuse, organes d’animaux, poissons et crustacés, larves, œufs, racines, bulbes, oléagineux et graines.

  • Il y a environ 10 000 ans : via la naissance de l’agriculture nous avons intégré de manière massive la consommation de céréales et produits laitiers.


Le blé s’est transformé dans le temps :


  • Passant de grain sauvage contenant 14 chromosomes (blé originel)

  • à 28 chromosomes (blé dur et kamut obtenus après de nombreux croisements), pour augmenter le rendement

  • On a continué à faire des croisements (mutations) jusqu’à obtenir le blé tendre qui contient 42 chromosomes.


Malheureusement cette version à 42 chromosomes n'est toujours pas la dernière version du blé : c'est celle que l’on consommait au 19e siècle !

En 1950, le monde a connu la fameuse révolution verte. Pour résoudre la famine de certains pays (Inde, Mexique, Pakistan, etc.), on a fait appel à un agronome généticien (Norman Ernest Borlaug).
La solution fut trouvée : augmenter le rendement par hectare en faisant des modifications génétiques aux céréales. Il a d’ailleurs obtenu le Prix Nobel de la Paix pour cela.

Ces nouveaux blés, dont la protéine de gluten a été ultra-modifiée ne sont, aujourd’hui, plus compatibles avec le système digestif humain, donc toxiques. Cette toxicité mérite d’autant plus d’attention dans le cas des systèmes digestifs en plein développement de nos enfants.


Produits sans gluten : un problème de surconsommation


Nous savons que la consommation (devenue excessive) de gluten peut, en effet, être nocive pour la santé et même entraîner une intolérance, la maladie cœliaque, ou une réaction de type allergie sévère. De nombreuses études sont formelles : ce genre de problématique ne cesse d’augmenter. Elles ont été multipliées par 6, voire 11, selon les régions de France.


Si consommée en trop grande quantité, cette protéine se transforme en une espèce de colle (glue-ten) qui vient tapisser et boucher les microvillosités de l’intestin. En effet, ceci limitera, chez l'enfant comme chez l'adulte, la capacité d’assimilation des bons nutriments et vitamines. Ceci entraîne souvent d’importantes carences.

De plus en plus souvent, au cabinet, à travers une analyse du microbiote, nous constatons que cette glue a réussi à rendre la barrière intestinale des enfants poreuse. Cette barrière fait office de frontière face aux mauvaises bactéries. Si elle est fragilisée, les bactéries peuvent facilement pénétrer dans l’organisme.


Une alimentation riche en gluten affaibli l'intestin qui permet d’acheminer ”le bon carburant” vers nos cellules. Pour faire simple, manger du gluten fragilise considérablement l'immunité de nos enfants.  
Le problème est que le gluten se cache partout. Ce dernier sert à épaissir les préparations et de nombreux aliments contiennent du gluten caché. Vous faites peut-être partie de ces gens qui disent : ”Mon enfants ne mange pas de pain et très rarement des pâtes, il n’y a pas de gluten dans son alimentation” ?


Malheureusement on en surconsomme tous, au travers d’aliments peu suspicieux :


  • Plats préparés

  • Charcuterie

  • Sauces et condiments

  • Pâtes à tartiner

  • Crèmes desserts

  • Et bien sûr : pâtes, biscuits et gâteaux industriels


Tous ces aliments contiennent du gluten. Il y en a même dans les médicaments !

Le grand piège: les produits sans gluten!


N’oublions pas une chose, très importante : je suis italien ! Je suis né en Italie et j’y ai vécu mes 19 premières années ! Alors comme tous mes compatriotes, nous avons été élevés avec des pâtes.
Certes, je n’ai jamais vu qui que ce soit ouvrir une boîte de sauce préparée et tout était fait maison. Durant mon enfance, je n’ai jamais consommé de pizza surgelée, ni passé au micro-ondes des lasagnes toutes prêtes. Mais bon, dans notre alimentation familiale les pâtes étaient notre entrée fétiche (oui oui une entrée !).


Je comprends donc tous ces parents qui me regardent la larme à l’œil au cabinet en me disant : “Mais si je ne leurs donne plus à manger du pain et des pâtes, qu’est-ce qu’il me reste à leur donner ?”.
Puis je les vois comme vous, dans les rayons des supermarchés: cette enfilade de produits ‘’gagne-temps’’ ! Tous ces biscuits et gâteaux sont, soi-disant, faits avec des mélanges de céréales ancestrales (souvent avec l’image de la mamie sur le paquet pour toucher la corde sensible). Lorsque l’on regarde le paquet, ces produits ressemblent vraiment aux «originaux» avec gluten. Pour en avoir goûté certains, je dois dire que leur goût est plutôt bon. Il est facile de tomber dans le piège !


Mais les produits industriels, avec ou sans gluten, sont ultra-transformés et donc nocifs pour la santé d'un enfant. Ils présentent une valeur nutritive peu, voire pas du tout intéressante et sont riches en substances néfastes et inflammatoires.

Voici les plus répandues et dangereuses :


  • Colorants

  • Émulsifiants

  • Édulcorants

  • Amidons

  • Nitrites

  • Exhausteurs de goût


De plus, les produits alimentaires industriels sans gluten sont aussi bourrés d’additifs et enzymes. Pourquoi ? Parce que la mamie (celle de l’image sur le paquet) a besoin de rehausser le goût de ses produits sans gluten ou d’épaissir ses préparations… (la garce !)


Ces additifs sont parfois très dangereux pour le corps de nos enfants (immature et en développement). Ils induisent également des charges glycémiques élevées et peuvent conduire à des carences en protéine. Ces produits – souvent vendus à des prix exorbitants – sont riches en sucre et en sel (définis ''poisons blanc'' dans le milieu de la santé infantile).


Alors gravez cette chose dans votre mémoire : ces produits sont inflammatoires et toxiques pour les intestins de nos chérubins (probablement déjà affaiblis, si on a diagnostiqué une intolérance ou une allergie). Vous n’aurez que l’illusion de mieux manger.


Régime sans gluten pour les enfants, que faire?


Que le gluten soit déjà un problème pour vos enfants, pour vous ou pas, il n’y a aucun intérêt à consommer des produits industriels sans gluten. Le conseil est alors de revoir sa consommation en féculents et farines en termes de quantité et de qualité. Bannir les plats préparés, retrouver le plaisir de cuisiner, revenir à une alimentation plus simple.


Je sais, il n’est pas toujours simple de se priver totalement de ces aliments industriels, même lorsque l’on sait qu’ils sont nocifs pour la santé. Je suis parfaitement conscient de nos quotidiens à 1000 à l’heure et de nos contraintes de temps.
Pourtant, de nouvelles habitudes alimentaires permettent de retourner en cuisine et de revenir à une alimentation peu transformée, simple… et savoureuse. Avec un peu d’organisation, on peut même y gagner du temps (batch cooking, panier de courses livrés …).


Je le sais, la solution n’est pas simple à avaler mais pourtant pleine de bon sens : retournons en cuisine!

Dans un premier temps, il est intéressant de noter qu’une multitude de produits alimentaires sains ne contient pas de gluten : les fruits et légumes, la viande et les poissons bruts, tous les laitages basiques.

Pour remplacer les pâtes, beaucoup de solutions saines existent. De nombreux tubercules et céréales ne contiennent pas de gluten (leurs farines non plus) :


  • Riz

  • Pomme de terre

  • Tapioca

  • Manioc

  • Arrow-root

  • Pois chiche

  • Sarrasin

  • Quinoa

  • Châtaigne

  • Amarante

  • Millet

  • Teff

  • Sésame

  • Igname

  • Souchet


Je vous en déconseille une (celle du blé) et je vous en recommande 15 : il y en a pour tous les goûts !

Pour revenir à une alimentation saine et arrêter de consommer des produits industriels sans gluten, mauvais pour l’organisme de nos enfants, commençons par arrêter la consommation de produits transformés. Ils ne présentent souvent aucun avantage nutritionnel et aucun bénéfice pour la santé. Pour certains de ces produits, on peut penser qu'ils empêchent carrément un bon développement locomoteur, immunitaire, psychologique de nos enfants.


Retrouvons le plaisir de cuisiner sain, redécouvrons les produits alimentaires oubliés tels que le sarrasin, le millet ou le quinoa. Il est possible de s’amuser en cuisine avec nos petits et de manger gourmand !


Cuisiner sans gluten peut être l’occasion d’essayer de nouveaux produits, de goûter de nouvelles recettes, le tout sans passer votre vie en cuisine. Profitons-en internet pullule de blogs géniaux qui proposent tout un tas de recettes rapides, faciles et gourmandes.


Naturellement,

Mauro 🌱

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