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Les anti-nutriments: un danger dans l’assiette de nos enfants?

Les anti-nutriments: un danger dans l’assiette de nos enfants?

Tout organisme vivant sur terre, pour préserver son espèce, développe des stratégies. Ceci dans le monde animal, comme dans le monde végétal, c'est ce que nous appelons les anti-nutriments.

Pour survivre face aux menaces de leur environnement, certaines espèces de végétaux comestibles, ont développé un fort système de défense. Celui-ci mobilise des molécules présentes dans les graines, les feuilles et les racines, qui les protègent contre la germination prématurée et contribuent à éloigner les prédateurs.

Lorsque nos enfants consomment des céréales, des légumineuses, des noix et des graines à l’état brut, ils ingèrent aussi ces composés chimiques : on appelle ces facteurs ''anti-nutriments'' car ils interfèrent avec l’absorption des bons nutriments.


" Comment ça : faut-il donc se méfier ou éliminer les végétaux ? ''


Pas de stress, je n'allais quand même pas vous alerter sur un problème sans vous donner des solutions. Nous allons déjà comprendre ensemble quels sont ces anti-nutriments, où les trouver et enfin, bien sûr, des escamotages et différentes méthodes de préparation pour s’en débarrasser (ou réduire) la teneur de ces molécules toxiques.



Pourquoi anti → nutriments ?


Vous pouvez les imaginer comme des substances naturellement présentes dans les plantes : nous ne parlerons donc pas d'un processus chimique, de cultivation ou de production.
On leur donne la définition d’anti-nutriments car ces substances ont la capacité d’interférer avec l'absorption de certains minéraux : par exemple le fer, le calcium et le zinc. De plus, ils peuvent compromettre la correcte digestibilité des protéines et des bons sucres.

En gros, nous les appelons anti-nutriments car malgré le fait que l'on s'applique à diversifier l'alimentation de nos enfants, la présence de ces molécules vient empêcher une bonne assimilation des nutriments. Considérons donc que ce qui été initialement destiné au corps de nos petits, n'arrivera pas à destination. En effet, les anti-nutriments peuvent amener à des carences.  

J'utilise souvent l'image du « réservoir troué » pour illustrer cela aux parents qui consultent en ligne.
En tant que naturopathe, je dois rajouter que tous les enfants, ayant des capacités digestives faibles (comme l'enfant de nature nerveuse), seront d’autant plus dérangés par ces substances.
Je pense aussi aux enfants végétariens ou végans : une surconsommation de ces anti-nutriments peut promouvoir, déclencher ou aggraver des problèmes comme l'intestin poreux, syndrome du côlon irritable, maladie de Crohn ou encore maladies auto-immunes et/ou allergies.

Si vous pensez que la situation est catastrophique, détrompez-vous ! Voyons d'abord quels sont ces anti-nutriments, puis nous passerons aux solutions.
Parce-qu'il y en a... détendez-vous !

28 février 2023 à 22:00:00

Le jour où ...


Ah, le cododo! Ce mot que, dans le passé, je prononçais avec le même dédain qu'une commande de jus de kale dans un fast-food. "Quoi, partager le lit avec mon bébé? Et m'empêcher de me tourner comme un ventilateur toutes les nuits? Pas question!" Mais oh, comme les choses peuvent changer.

Le cododo est un peu comme ce vieux jean au fond de votre armoire. Vous savez qu'il est là, mais vous ne voulez pas vraiment le sortir et l'essayer. Pourtant, quand vous le faites, c'est le confort à l'état pur. La chambre familiale, où tout le monde dort ensemble, est venue à nous comme une révélation nocturne.


Avant de la découvrir, nous naviguions dans un océan de doutes et d'incertitudes. C'était comme si chaque soir, nous embarquions pour une mission en territoire ennemi, sans carte ni boussole. Les réveils nocturnes étaient nos assaillants imprévisibles, et nos tentatives désespérées de rendormir notre petite étaient des batailles perdues d’avance.


Puis un jour, lors d'une de mes visites nocturnes habituelles sur les forums de parents épuisés, j'ai trébuché sur le concept de chambre familiale. La co-sleeping (ou co-dodo) est la normalité pour de nombreuses cultures à travers le monde. C'était comme une révélation, un rayon de lumière dans notre nuit sombre (et constamment interrompue).


Alors, nous avons décidé d'essayer. Nous avons réarrangé la chambre : notre lit parentale et son lit à elle pas loin du notre (chacun son confort). La première nuit dans notre nouvelle configuration a été une révélation. Notre fille semblait rassurée par notre présence, et nous avons découvert ce que c'était que de dormir plus de trois heures d'affilée. C'était magique. La différence était comme entre le jour et la nuit, littéralement. Plus de missions nocturnes périlleuses. Plus de spectacles de craquements articulaires involontaires. Juste du sommeil, doux et réparateur.


La chambre familiale n'était pas seulement une solution au problème du sommeil de notre fille. C'était une réponse à nos inquiétudes, nos anxiétés, et notre épuisement. Et le plus drôle dans tout ça? Les sceptiques qui nous entouraient ont commencé à voir la transformation et à poser des questions. C'était comme si nous étions devenus les ambassadeurs involontaires du co-dodo dans notre cercle social.


Oui, le voyage du sommeil autonome à la chambre familiale a été une aventure, avec ses hauts et ses bas. Mais quand je regarde en arrière, je me dis que chaque étape nous a menés là où nous devions être, dans une chambre paisible, avec une petite fille paisible. Et, bien sûr, deux parents beaucoup, beaucoup plus reposés.


Chambre familiale, mythes et réalité

La chambre familiale est, pour certains un tabou, une hérésie du sommeil. Pour d'autres, c'est une oasis d'amour et de connexion. J'ai moi-même été pris dans ces tornades d’opinions divergentes. Permettez-moi de partager une anecdote qui, j'espère, vous fera sourire autant qu'elle m’a fait réfléchir.


Il y a quelques années, lors d'un dîner entre amis, j'ai évoqué, non sans une pointe de fierté, notre choix de la chambre familiale. La réaction a été... disons... mémorable. Mon ami Thomas, tout en recrachant presque son vin, m'a lancé : "Quoi ?! Tu veux dire que ton enfant dort avec vous ? Mais... et ta vie privée ? Et son indépendance ? Il va finir par dormir avec vous jusqu'à ses 18 ans !" J'ai souri, comprenant la véritable inquiétude derrière ses mots. C'est un mythe répandu : en optant pour la chambre familiale, on sacrifierait notre vie de couple, et on empêcherait nos enfants de grandir en toute indépendance.


Mais ce n'est pas tout ! Qui n'a jamais entendu que cela ne faisait que renforcer les caprices ? Ou encore, que cela empêchait l'enfant d'apprendre à s'auto-apaiser ?

Maintenant, plongeons dans la réalité. D'abord, et c'est crucial, chaque famille est unique. Si la chambre familiale renforce le lien d'attachement entre l'enfant et les parents, c'est une victoire. 

De nombreuses études montrent que les enfants qui partagent une chambre familiale ont souvent une meilleure estime d'eux-mêmes et sont plus équilibrés. Quant à la vie de couple, elle se réinvente, s'adapte, et non, elle ne se résume pas uniquement à la chambre à coucher. Et pour ce qui est de l'indépendance, elle se construit sur la sécurité affective, la confiance, et non sur la distance physique.


Le plus inspirant dans tout cela ? En choisissant la chambre familiale, vous choisissez d'écouter votre cœur plutôt que les "on-dit". C'est un acte d'amour audacieux, plein d'intuition et de confiance.

Au quotidien, je trouve que le choix d'un mode de cuisson à basse température, donc au maximum 100-130 degrés, ainsi que le trempage, sont les solutions les plus faciles à adopter. Ce sont d'ailleurs celles que nous privilégions dans notre famille. Il suffit de se souvenir de mettre à tremper les céréales ou légumineuses à l’avance.


Nous nous sommes trompés, en pensant bien faire


Je suis très content car cet article est né en partant d'un ''ras le bol'' d'une lectrice de KIDYnature (que je tiens vraiment à remercier !).

Lors de notre première consultation, elle était inquiète car son fils ne semblait tolérer aucun style alimentaire : pour soigner ses problèmes d’acné elle avait d'abord supprimé tous les sucres, puis les laitages... puis substitué les protéines animales par les protéines végétales. 8 mois plus tard, son fils était constamment ballonné, sa digestion et transit terriblement perturbés. L'acné toujours présente.

Je ne vais pas m'éterniser sur la suite de nos consultations mais, lorsque cette dame a compris que les désagréments intestinaux de son fils étaient entre autres dûs aux protéines végétales introduites sans précautions (et riches en anti-nutriments), son exclamation fut très spontanée :


''P****n, mais moi je pensais bien faire ! ''


Je souhaite partager mon profond respect pour tous ces parents qui se trompent... en essayant de faire de leur mieux pour leurs enfants. Vous êtes des héros sans capes !

De plus, j'ai aujourd'hui l'opportunité de mettre à disposition de mes lecteurs, votre expérience : pour que tout le monde ait accès aux précautions nécessaires !
Alors encore une fois, merci !

Pour finir cet article, je nous invite vraiment à ne pas nous laisser impressionner : malgré leur dangerosité, les anti-nutriments peuvent être dégradés par quelques méthodes simples telles que celles indiquées plus haut dans l'article.

En combinant différentes méthodes, de nombreux anti-nutriments peuvent être dégradés presque complètement et nous assurer de fournir à nos enfants, ainsi qu'à nous même, une nutrition qui nourri... vraiment !

Naturellement,
Mauro 🌱

Les anti-nutriments: un danger dans l’assiette de nos enfants?

Qui as dit que les légumes ne sont pas potentiellement dangereux? Qu'est-ce que sont les anti-nutriments, où les trouver et enfin, bien sûr, les différentes méthodes de préparation pour s’en débarrasser.

LIRE L'ARTICLE COMPLET

Pour survivre face aux menaces de leur environnement, certaines espèces de végétaux comestibles, ont développé un fort système de défense. Celui-ci mobilise des molécules présentes dans les graines, les feuilles et les racines, qui les protègent contre la germination prématurée et contribuent à éloigner les prédateurs.

Lorsque nos enfants consomment des céréales, des légumineuses, des noix et des graines à l’état brut, ils ingèrent aussi ces composés chimiques : on appelle ces facteurs ''anti-nutriments'' car ils interfèrent avec l’absorption des bons nutriments.


" Comment ça : faut-il donc se méfier ou éliminer les végétaux ? ''


Pas de stress, je n'allais quand même pas vous alerter sur un problème sans vous donner des solutions. Nous allons déjà comprendre ensemble quels sont ces anti-nutriments, où les trouver et enfin, bien sûr, des escamotages et différentes méthodes de préparation pour s’en débarrasser (ou réduire) la teneur de ces molécules toxiques.



Pourquoi anti → nutriments ?


Vous pouvez les imaginer comme des substances naturellement présentes dans les plantes : nous ne parlerons donc pas d'un processus chimique, de cultivation ou de production.
On leur donne la définition d’anti-nutriments car ces substances ont la capacité d’interférer avec l'absorption de certains minéraux : par exemple le fer, le calcium et le zinc. De plus, ils peuvent compromettre la correcte digestibilité des protéines et des bons sucres.

En gros, nous les appelons anti-nutriments car malgré le fait que l'on s'applique à diversifier l'alimentation de nos enfants, la présence de ces molécules vient empêcher une bonne assimilation des nutriments. Considérons donc que ce qui été initialement destiné au corps de nos petits, n'arrivera pas à destination. En effet, les anti-nutriments peuvent amener à des carences.  

J'utilise souvent l'image du « réservoir troué » pour illustrer cela aux parents qui consultent en ligne.
En tant que naturopathe, je dois rajouter que tous les enfants, ayant des capacités digestives faibles (comme l'enfant de nature nerveuse), seront d’autant plus dérangés par ces substances.
Je pense aussi aux enfants végétariens ou végans : une surconsommation de ces anti-nutriments peut promouvoir, déclencher ou aggraver des problèmes comme l'intestin poreux, syndrome du côlon irritable, maladie de Crohn ou encore maladies auto-immunes et/ou allergies.

Si vous pensez que la situation est catastrophique, détrompez-vous ! Voyons d'abord quels sont ces anti-nutriments, puis nous passerons aux solutions.
Parce-qu'il y en a... détendez-vous !

Quels sont les anti-nutriments ?


Ok, nous l'avons donc compris : les anti-nutriments sont des composants présents dans de nombreux aliments. Ils agissent négativement sur l’absorption, la digestion ou dans la manière d'assimiler d'autres bons nutriments. Ces bons nutriments perdus, sont pourtant essentiels pour le corps de nos enfants.

Autrement dit, le même aliment peut contenir à la fois les bons nutriments ainsi que les anti-nutriments qui empêchent l'assimilation de ces substances saines. Une vraie arnaque !

Nous comprenons donc bien l'importance de connaître ces anti-nutriments, afin d'éviter facilement les dangers liés aux potentielles carences nutritionnelles.
Ceci est d'autant plus vrai chez les enfants. Il est absolument nécessaire qu'ils reçoivent correctement tous les nutriments essentiels à leur développement : physique, moteur, psychique et émotionnel.
Si l'on néglige les anti-nutriments, le risque est de mettre en péril la santé et la croissance de nos enfants.


'' Les anti-nutriments s'opposent à la croissance de nos enfants ''


Donc concrètement, pourquoi les anti-nutriments méritent-ils notre attention ?

Principalement, je dirais que les anti-nutriments empêchent le corps des enfants d'absorber le fer d'origine végétale. Pour rappel le fer est essentiel car il permet, entre autres, le transport de l'oxygène vers toutes les parties du corps.
En effet les anti-nutriments sont particulièrement résistants à la dégradation enzymatique. Plus simplement, ils entravent les réactions chimiques de la digestion.
La conséquence (physio)logique d'une mauvaise digestion est une mauvaise assimilation finale. Ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui, donc je ne souhaite pas entrer dans les détails, nous y reviendrons prochainement, dans un article dédié.


''KIDY mauvaise assimilation, dit risque de carences ! "


Pour couronner le tout, il faut savoir que les anti-nutriments affectent, très négativement, la bonne assimilation du calcium : minéral pourtant indispensable à la croissance !

Pour satisfaire les plus curieux (car je vous invite toujours à aller plus loin et vous renseigner par vous-même), voici la liste non exhaustive des anti-nutriments les plus courants :


  • Saponines

  • Les phytates (ou acide phytique)

  • L'oxalate (ou acide oxalique)

  • Les tanins

  • Les goitrogènes

  • Les phytoestrogènes

  • Lectines

  • Oxalate

  • Tanins


Où trouver les anti-nutriments ?


Je sais, dans cet article j'ai été un peu plus technique. Afin de revenir à quelque chose de plus digeste, voici la liste des principaux anti-nutriments, et des aliments qui en contiennent le plus :


  • Saponines : haricots et légumineuses (soja, pois chiches, haricots rouges et haricots blancs). Grains et pseudo-grains (avoine, quinoa et amarante).

  • Phytates : légumineuses (lentilles, haricots, pois chiche, soja), céréales complètes, pseudo-céréales (amarante, quinoa, millet), oléagineux (noix, noisettes, amandes, etc.) et graines. Il est aussi présent dans le soja et certains tubercules.

  • Tanins :  thé, café, chocolat, raisins, baies (fruits rouges), pommes, fruits à noyaux (pêche, abricot, nectarine, prune, cerise), noix, haricots, sorgho, vin rouge

  • Lectines :  légumineuses (lentilles, haricots, pois), céréales, graines, oléagineux (amandes, noix), fruits, légumes, soja.

  • Oxalates : épinards, blettes, oseille, betteraves, rhubarbe, oléagineux (cacahuète, noix de cajou, amandes), légumineuses (lentilles, soja, pois, pois chiche), patates douces, pommes de terre, amarante.


Quatre solutions pour neutraliser les anti-nutriments


Nous y voilà (merci pour ceux qui auront pris le temps de tout lire jusqu’ici).
Comme promis, après vous avoir alerté concernant l'action négative sur la digestion et sur l'assimilation qui pourrait conduire à des carences, voici quatre solutions pour neutraliser les anti-nutriments!


  1. LA CUISSON : la chaleur élevée (ébullition et vapeur) dégrade les anti-nutriments : le temps de cuisson nécessaire dépend du type d'anti-nutriment, de la plante alimentaire et de la méthode de cuisson. En augmentant le temps de cuisson on obtient une grande réduction des anti-nutriments.

  2. LE TREMPAGE : cette méthode a plusieurs bienfaits : la diminution du temps de cuisson, facilite la digestion et augmente le taux d'absorption des minéraux. Le trempage permet aussi d’augmenter les taux de vitamine C et B, de carotène, de minéraux et de protéines bio-disponibles.

  3. LA GERMINATION : est un processus extrêmement fascinant, que je vous invite à découvrir.
    Ici, ce qui nous importe de savoir, c'est que la température et l’humidité permettent de libérer des substances nutritives présentes dans la graine, notamment grâce à l’activation de certains enzymes qui neutralisent les anti-nutriments.

  4. LA FERMENTATION : il s'agit d'une transformation produite par des micro-organismes, comme les levures ou les bactéries. Le mode le plus intéressant pour la santé est la fermentation lactique ou lacto-fermentation, via les bactéries lactiques.

Au quotidien, je trouve que le choix d'un mode de cuisson à basse température, donc au maximum 100-130 degrés, ainsi que le trempage, sont les solutions les plus faciles à adopter. Ce sont d'ailleurs celles que nous privilégions dans notre famille. Il suffit de se souvenir de mettre à tremper les céréales ou légumineuses à l’avance.


Nous nous sommes trompés, en pensant bien faire


Je suis très content car cet article est né en partant d'un ''ras le bol'' d'une lectrice de KIDYnature (que je tiens vraiment à remercier !).

Lors de notre première consultation, elle était inquiète car son fils ne semblait tolérer aucun style alimentaire : pour soigner ses problèmes d’acné elle avait d'abord supprimé tous les sucres, puis les laitages... puis substitué les protéines animales par les protéines végétales. 8 mois plus tard, son fils était constamment ballonné, sa digestion et transit terriblement perturbés. L'acné toujours présente.

Je ne vais pas m'éterniser sur la suite de nos consultations mais, lorsque cette dame a compris que les désagréments intestinaux de son fils étaient entre autres dûs aux protéines végétales introduites sans précautions (et riches en anti-nutriments), son exclamation fut très spontanée :


''P****n, mais moi je pensais bien faire ! ''


Je souhaite partager mon profond respect pour tous ces parents qui se trompent... en essayant de faire de leur mieux pour leurs enfants. Vous êtes des héros sans capes !

De plus, j'ai aujourd'hui l'opportunité de mettre à disposition de mes lecteurs, votre expérience : pour que tout le monde ait accès aux précautions nécessaires !
Alors encore une fois, merci !

Pour finir cet article, je nous invite vraiment à ne pas nous laisser impressionner : malgré leur dangerosité, les anti-nutriments peuvent être dégradés par quelques méthodes simples telles que celles indiquées plus haut dans l'article.

En combinant différentes méthodes, de nombreux anti-nutriments peuvent être dégradés presque complètement et nous assurer de fournir à nos enfants, ainsi qu'à nous même, une nutrition qui nourri... vraiment !

Naturellement,
Mauro 🌱

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