KIDY féculents, dit sucre!

Nous parlerons aujourd'hui des féculents.
Je le sais : ceci donne un bon coup de pieds à tous nos enseignements, à notre éducation.
Je reste encore du même avis : en tant que parents nous avons la responsabilité de connaître la vérité. Puis en pleine conscience chacun de nous prendra ses propres décisions. Pour soi, ses enfants et sa famille.
Dans cet article nous parlerons des féculents : la source de sucre la plus importante dans l'alimentation de nos enfants. Importante aussi dans le sens ''présente de manière trop importante''.
En effet, le but de cet article n'est pas de dénigrer les féculents, ni de les démoniser pour les éliminer de l'alimentation de nos enfants.
Le but est de vous faire réaliser à quel point la sélection de bons féculents fait toute la différence pour nos enfants. Si, à la fin de cet article, vous vous sentez capable de bien choisir les féculents pour vos enfants, de manière à surveiller les quantités de sucre cachés dans leurs alimentation... je serai satisfait.
N'hésitons plus alors...
28 février 2023 à 22:00:00

Le jour où ...
Ah, le cododo! Ce mot que, dans le passé, je prononçais avec le même dédain qu'une commande de jus de kale dans un fast-food. "Quoi, partager le lit avec mon bébé? Et m'empêcher de me tourner comme un ventilateur toutes les nuits? Pas question!" Mais oh, comme les choses peuvent changer.
Le cododo est un peu comme ce vieux jean au fond de votre armoire. Vous savez qu'il est là, mais vous ne voulez pas vraiment le sortir et l'essayer. Pourtant, quand vous le faites, c'est le confort à l'état pur. La chambre familiale, où tout le monde dort ensemble, est venue à nous comme une révélation nocturne.
Avant de la découvrir, nous naviguions dans un océan de doutes et d'incertitudes. C'était comme si chaque soir, nous embarquions pour une mission en territoire ennemi, sans carte ni boussole. Les réveils nocturnes étaient nos assaillants imprévisibles, et nos tentatives désespérées de rendormir notre petite étaient des batailles perdues d’avance.
Puis un jour, lors d'une de mes visites nocturnes habituelles sur les forums de parents épuisés, j'ai trébuché sur le concept de chambre familiale. La co-sleeping (ou co-dodo) est la normalité pour de nombreuses cultures à travers le monde. C'était comme une révélation, un rayon de lumière dans notre nuit sombre (et constamment interrompue).
Alors, nous avons décidé d'essayer. Nous avons réarrangé la chambre : notre lit parentale et son lit à elle pas loin du notre (chacun son confort). La première nuit dans notre nouvelle configuration a été une révélation. Notre fille semblait rassurée par notre présence, et nous avons découvert ce que c'était que de dormir plus de trois heures d'affilée. C'était magique. La différence était comme entre le jour et la nuit, littéralement. Plus de missions nocturnes périlleuses. Plus de spectacles de craquements articulaires involontaires. Juste du sommeil, doux et réparateur.
La chambre familiale n'était pas seulement une solution au problème du sommeil de notre fille. C'était une réponse à nos inquiétudes, nos anxiétés, et notre épuisement. Et le plus drôle dans tout ça? Les sceptiques qui nous entouraient ont commencé à voir la transformation et à poser des questions. C'était comme si nous étions devenus les ambassadeurs involontaires du co-dodo dans notre cercle social.
Oui, le voyage du sommeil autonome à la chambre familiale a été une aventure, avec ses hauts et ses bas. Mais quand je regarde en arrière, je me dis que chaque étape nous a menés là où nous devions être, dans une chambre paisible, avec une petite fille paisible. Et, bien sûr, deux parents beaucoup, beaucoup plus reposés.
Chambre familiale, mythes et réalité
La chambre familiale est, pour certains un tabou, une hérésie du sommeil. Pour d'autres, c'est une oasis d'amour et de connexion. J'ai moi-même été pris dans ces tornades d’opinions divergentes. Permettez-moi de partager une anecdote qui, j'espère, vous fera sourire autant qu'elle m’a fait réfléchir.
Il y a quelques années, lors d'un dîner entre amis, j'ai évoqué, non sans une pointe de fierté, notre choix de la chambre familiale. La réaction a été... disons... mémorable. Mon ami Thomas, tout en recrachant presque son vin, m'a lancé : "Quoi ?! Tu veux dire que ton enfant dort avec vous ? Mais... et ta vie privée ? Et son indépendance ? Il va finir par dormir avec vous jusqu'à ses 18 ans !" J'ai souri, comprenant la véritable inquiétude derrière ses mots. C'est un mythe répandu : en optant pour la chambre familiale, on sacrifierait notre vie de couple, et on empêcherait nos enfants de grandir en toute indépendance.
Mais ce n'est pas tout ! Qui n'a jamais entendu que cela ne faisait que renforcer les caprices ? Ou encore, que cela empêchait l'enfant d'apprendre à s'auto-apaiser ?
Maintenant, plongeons dans la réalité. D'abord, et c'est crucial, chaque famille est unique. Si la chambre familiale renforce le lien d'attachement entre l'enfant et les parents, c'est une victoire.
De nombreuses études montrent que les enfants qui partagent une chambre familiale ont souvent une meilleure estime d'eux-mêmes et sont plus équilibrés. Quant à la vie de couple, elle se réinvente, s'adapte, et non, elle ne se résume pas uniquement à la chambre à coucher. Et pour ce qui est de l'indépendance, elle se construit sur la sécurité affective, la confiance, et non sur la distance physique.
Le plus inspirant dans tout cela ? En choisissant la chambre familiale, vous choisissez d'écouter votre cœur plutôt que les "on-dit". C'est un acte d'amour audacieux, plein d'intuition et de confiance.

Qu'est-ce qui pose problème dans les féculents ?
Il faut savoir que les féculents peuvent être classifiés sur la base de l'impact que leur consommation aura sur la quantité de sucre en circulation dans le sang. Cette variation du taux de sucre dans le sang est appelée la glycémie.
Les féculents peuvent donc être classifiés sur la base de leur index glycémique (IG). Plus l’IG sera élevé plus le féculent consommé entrainera une hausse rapide de la glycémie. Plus l’IG des féculents sera bas, moins la variation sera importante.
Lorsque nos enfants consomment des féculents à IG élevé leur glycémie augmente. Cette hausse sera suivie d’une baisse de leur glycémie aussi rapide et importante (suite à la sécrétion d’insuline).
Pour faire simple que se passe-t-il ? La hausse, trop importante, du taux de sucre dans le sang provoque une réaction du corps de nos enfants : ce dernier abaisse rapidement le taux de sucre. On appel ce phénomène l'hypoglycémie réactionnelle.
La baisse du taux de sucre dans le sang des enfants s’accompagne alors:
D’une baisse soudaine d’énergie
De vertiges
D’une grande sensation de faim
"Des féculents oui, mais pas n'importe lesquels!"
Quels féculents pour nos enfants ?
Afin de simplifier et pour vous aider à vous y retrouver, voici ce qu'il faut retenir sur l’IG des féculents : le point de référence est le glucose, qui est classé sur 100.
Vous pouvez alors considérer :
Les féculents avec un IG de moins de 55 sont dits bas, donc à privilégier
Entre 56 et 69, les féculents ont un index moyen, donc à limiter
Les féculents de plus de 70 sont dits élevés, donc à éviter
Pour vous donner des indications supplémentaires, voici ma liste des 5 meilleurs féculents à IG bas:
Les légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots rouges ou blancs … (attention au trempage – lisez mon article à propos des anti-nutriments, ici).
Le quinoa, le sarrasin (qui, botaniquement, ne sont pas des céréales)
Les tubercules : patate douce, rutabaga, topinambour
Les céréales complètes bio : avoine, seigle, orge mondé, épeautre, boulgour, etc.
Muesli sans sucre, fait maison
Voici également, la liste de certains féculents à IG moyen (56-69) :
Les produits à base de farine de blé complet ou semi-complet
Les pâtes très cuites intégrales
La semoule de blé dur
Le riz thaï
Le pain au levain à base de blé complet uniquement
Et pour terminer, la liste de féculents à IG élevé :
Le riz blanc (sauf le basmati)
Le millet
Le maïs
Le manioc
La farine de blé blanche et tout ce qui en contient
Quelques recommandations supplémentaires sur les féculents
Sélectionner les féculents pour nos enfants sur la base de leur IG, n'est pas le seul bon réflexe que nous pouvons avoir.
En effet, selon l'association avec d'autres macro-aliments (protéines, graisses et glucides), selon la typologie de préparation et cuisson, nous pouvons changer la digestibilité des féculents.
Je vous conseille donc, de préférence, d'associer les féculents aux légumes : ceci permettra aux féculents d'être digérés plus lentement grâce aux fibres des légumes. De plus, les féculents consommés en association aux légumes maintiennent une bonne glycémie jusqu’au repas suivant. Autrement dit, ils tiendrons mieux au corps de nos enfants.
Il sera préférable que vos enfants mangent des pâtes de sarrasin avec des légumes plutôt qu’une assiette composée d’un pavé de saumon et de riz, par exemple.
De plus, je vous invite sérieusement à consulter mon article sur ''Les anti-nutriments: un danger dans l'assiette de nos enfants?''.
Dans cette article, je vous parle d'un vrai problème qui se présente lorsque nos enfants consomment des céréales, des légumineuses, des noix et des graines à l’état brut. Nos enfants, consommant certains féculents sans trempage ou germination, ingèrent aussi des composés chimiques (qu'on appelle ''anti-nutriments'') car ils interfèrent avec l’absorption des bons nutriments. Le risque est donc de développer ou entretenir certaines carences.
Conclusion
À la lumière de ces informations, je crois que tout parent devrait soigneusement éviter toute religion alimentaire : ajouter, exclure, limiter ou augmenter la quantité d'un certain aliment ''à priori'', est une stratégie dangereuse.
Dangereuse pour deux raisons. Premièrement, car chaque enfant est différent. Ce qui correspond bien à un enfant, pourrait être complètement indigeste pour un autre. Apprenons plutôt à observer nos enfants.
Deuxièmement, car, souvent, ce n'est pas un groupe d'aliments qui pose problème mais plutôt, la sélection qui en est faite en amont. Parler d'un plat de pâtes à la sauce tomates ne veut pas dire grand chose : des pâtes faites avec quelle céréale ? Complète, semi-complète, biologique, avec ou sans gluten, etc. Quelle sauce tomate ? Conserve maison, en partant de tomates de saison, biologiques, industrielles ; etc.
Vous vous doutez bien que, selon le choix fait en amont, on ne parle pas du tout de la même assiette.
Apprenons à nous émanciper afin de devenir agile dans le choix des produits pour notre famille.
Naturellement,
Mauro 🌱

Je reste encore du même avis : en tant que parents nous avons la responsabilité de connaître la vérité. Puis en pleine conscience chacun de nous prendra ses propres décisions. Pour soi, ses enfants et sa famille.
Dans cet article nous parlerons des féculents : la source de sucre la plus importante dans l'alimentation de nos enfants. Importante aussi dans le sens ''présente de manière trop importante''.
En effet, le but de cet article n'est pas de dénigrer les féculents, ni de les démoniser pour les éliminer de l'alimentation de nos enfants.
Le but est de vous faire réaliser à quel point la sélection de bons féculents fait toute la différence pour nos enfants. Si, à la fin de cet article, vous vous sentez capable de bien choisir les féculents pour vos enfants, de manière à surveiller les quantités de sucre cachés dans leurs alimentation... je serai satisfait.
N'hésitons plus alors...
Non ! Pas touche à mes féculents !
Vous le savez maintenant car j’en ai déjà parlé dans plusieurs articles, l'OMS préconise pour un adulte un apport quotidien de sucre de 25g.
Qui aurait dit qu’avec seulement 1/3 de baguette, nos enfants consomment déjà 40g de sucre ?
Il y a quelque chose qui m'a toujours fait sourire : lorsqu'on parle de féculents, avec des amis ou au travail, les gens me regardent... attendent mon avis... En tant qu’italien j’incarne un paradoxe !
''Mais comment, toi qui a grandi avec des pâtes, des pizza et du pain, tu es désormais leur détracteur?''
Soyons clairs une fois pour toutes : je ne poursuivrai pas une tradition si elle est néfaste pour ma santé ou celle de mes enfants. Je ne crois pas à des justifications du genre : ''on en a toujours mangé donc c’est bon pour la santé''.
"1/3 de baguette contient presque le double des sucres conseillés... par jour!"
Lorsque je reçois mes petits patients, je constate malheureusement que beaucoup trop souvent leur alimentation est richissime en sucre. J'en parle donc aux parents et ils sont tous surpris par mes calculs.
''Mais il ne mange pas de sucre ou de bonbons, il ne consomme pas de sodas, ni de snacks industriels''
Malheureusement le sucre se cache partout, même dans des aliments salés ! J'aime en effet appeler ceci, les sucres oubliés : c’est à dire ces sucres que nous ne considérons pas comme sucres.
KIDY féculents (tous les féculents), dit sucre : toutes les céréales (blé, riz, maïs, seigle, orge, avoine, sorgho, millet …) ainsi que l'ensemble des produits qui en sont issus (farines, pain, céréales du petit déjeuner …) contiennent du sucre.
Les légumes secs : on les appelle aussi légumineuses, sont sources de sucre. Et oui, les lentilles, les haricots, les fèves, pois etc...
Les pommes de terre ou autres tubercules, ainsi que l'ensemble des produits transformés ou dérivés (purée, frites, chips, etc…)
Le rôle des féculents
En effet, nous pouvons le lire partout, on nous conseille une portion de féculents à chaque repas pour nos enfants.
Les féculents sont ainsi considérés comme les sources principales d’énergie.
"Les féculents sont le carburant des enfants"
Les féculents sont appelés aussi glucides complexes: complexes car les féculents se transforment lentement en libérant de manière progressive leur énergie dans le corps de nos enfants. Ainsi les féculents permettent à nos enfants de fonctionner correctement entre deux repas en évitant les coups de pompes.
Certains féculents, comme les céréales complètes ou les légumes secs, sont très riches en fibres: éléments essentiels qui permettent de ralentir l’absorption du glucose (sucre) et de faciliter également la digestion de nos enfants.
Riches en protéines végétales et vitamines du groupe B, les féculents sont en effet des aliments incontournables pour une croissance saine.

Qu'est-ce qui pose problème dans les féculents ?
Il faut savoir que les féculents peuvent être classifiés sur la base de l'impact que leur consommation aura sur la quantité de sucre en circulation dans le sang. Cette variation du taux de sucre dans le sang est appelée la glycémie.
Les féculents peuvent donc être classifiés sur la base de leur index glycémique (IG). Plus l’IG sera élevé plus le féculent consommé entrainera une hausse rapide de la glycémie. Plus l’IG des féculents sera bas, moins la variation sera importante.
Lorsque nos enfants consomment des féculents à IG élevé leur glycémie augmente. Cette hausse sera suivie d’une baisse de leur glycémie aussi rapide et importante (suite à la sécrétion d’insuline).
Pour faire simple que se passe-t-il ? La hausse, trop importante, du taux de sucre dans le sang provoque une réaction du corps de nos enfants : ce dernier abaisse rapidement le taux de sucre. On appel ce phénomène l'hypoglycémie réactionnelle.
La baisse du taux de sucre dans le sang des enfants s’accompagne alors:
D’une baisse soudaine d’énergie
De vertiges
D’une grande sensation de faim
"Des féculents oui, mais pas n'importe lesquels!"
Quels féculents pour nos enfants ?
Afin de simplifier et pour vous aider à vous y retrouver, voici ce qu'il faut retenir sur l’IG des féculents : le point de référence est le glucose, qui est classé sur 100.
Vous pouvez alors considérer :
Les féculents avec un IG de moins de 55 sont dits bas, donc à privilégier
Entre 56 et 69, les féculents ont un index moyen, donc à limiter
Les féculents de plus de 70 sont dits élevés, donc à éviter
Pour vous donner des indications supplémentaires, voici ma liste des 5 meilleurs féculents à IG bas:
Les légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots rouges ou blancs … (attention au trempage – lisez mon article à propos des anti-nutriments, ici).
Le quinoa, le sarrasin (qui, botaniquement, ne sont pas des céréales)
Les tubercules : patate douce, rutabaga, topinambour
Les céréales complètes bio : avoine, seigle, orge mondé, épeautre, boulgour, etc.
Muesli sans sucre, fait maison
Voici également, la liste de certains féculents à IG moyen (56-69) :
Les produits à base de farine de blé complet ou semi-complet
Les pâtes très cuites intégrales
La semoule de blé dur
Le riz thaï
Le pain au levain à base de blé complet uniquement
Et pour terminer, la liste de féculents à IG élevé :
Le riz blanc (sauf le basmati)
Le millet
Le maïs
Le manioc
La farine de blé blanche et tout ce qui en contient
Quelques recommandations supplémentaires sur les féculents
Sélectionner les féculents pour nos enfants sur la base de leur IG, n'est pas le seul bon réflexe que nous pouvons avoir.
En effet, selon l'association avec d'autres macro-aliments (protéines, graisses et glucides), selon la typologie de préparation et cuisson, nous pouvons changer la digestibilité des féculents.
Je vous conseille donc, de préférence, d'associer les féculents aux légumes : ceci permettra aux féculents d'être digérés plus lentement grâce aux fibres des légumes. De plus, les féculents consommés en association aux légumes maintiennent une bonne glycémie jusqu’au repas suivant. Autrement dit, ils tiendrons mieux au corps de nos enfants.
Il sera préférable que vos enfants mangent des pâtes de sarrasin avec des légumes plutôt qu’une assiette composée d’un pavé de saumon et de riz, par exemple.
De plus, je vous invite sérieusement à consulter mon article sur ''Les anti-nutriments: un danger dans l'assiette de nos enfants?''.
Dans cette article, je vous parle d'un vrai problème qui se présente lorsque nos enfants consomment des céréales, des légumineuses, des noix et des graines à l’état brut. Nos enfants, consommant certains féculents sans trempage ou germination, ingèrent aussi des composés chimiques (qu'on appelle ''anti-nutriments'') car ils interfèrent avec l’absorption des bons nutriments. Le risque est donc de développer ou entretenir certaines carences.
Conclusion
À la lumière de ces informations, je crois que tout parent devrait soigneusement éviter toute religion alimentaire : ajouter, exclure, limiter ou augmenter la quantité d'un certain aliment ''à priori'', est une stratégie dangereuse.
Dangereuse pour deux raisons. Premièrement, car chaque enfant est différent. Ce qui correspond bien à un enfant, pourrait être complètement indigeste pour un autre. Apprenons plutôt à observer nos enfants.
Deuxièmement, car, souvent, ce n'est pas un groupe d'aliments qui pose problème mais plutôt, la sélection qui en est faite en amont. Parler d'un plat de pâtes à la sauce tomates ne veut pas dire grand chose : des pâtes faites avec quelle céréale ? Complète, semi-complète, biologique, avec ou sans gluten, etc. Quelle sauce tomate ? Conserve maison, en partant de tomates de saison, biologiques, industrielles ; etc.
Vous vous doutez bien que, selon le choix fait en amont, on ne parle pas du tout de la même assiette.
Apprenons à nous émanciper afin de devenir agile dans le choix des produits pour notre famille.
Naturellement,
Mauro 🌱

